Jeudi 28 Mars 2019- BAM Fisher building /Thursday March 28th 2019-“Venezuela” by Ohad Naharin: imaginative dialogue always allows for faith in a more joyful and shimmering world…
Cette semaine les amis, le printemps s’installe enfin progressivement.
It’s about time!
Top!
Alors place à nouveau, oh joie! à de la danse (et pas que, comme toujours); et au travail particulièrement imaginatif et original, d’une troupe de danse fantastique; la Batsheva Dance Company; d’un immense chorégraphe hyper talentueux, Ohad Naharin.
Génial!
Et sachez que Naharin cette année, a également embauché une nouvelle Directrice Artistique (Gil Navo), pour le remplacer pour cette responsabilité après de très nombreuses années (bien qu’il reste néanmoins le “House choreographer”); et du coup, “Venezuela” cette nouvelle création à découvrir pour beaucoup; faisait du coup, l’objet d’un “buzz” impressionnant; scintillant comme une pierre précieuse (beaucoup de “beautiful people” et “stars” en tous genre, étaient du coup, présents hier soir).
Fun!
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Et son travail pour moi, comme sa technique de “gaga”, évoquent comme toujours la puissance du mouvement et de la musique; qui emmène lorsqu’ils s’inspirent mutuellement, vers un chemin réjouissant; vers toujours plus de joies et de gaietés simples et riantes dans l’existence; source de bonheur pour tous!
Top!
En même temps étant donné sa notoriété, et son immense réputation, j’aurais aimé par moments, une “histoire” un poil plus compréhensible, une chorégraphie malgré d’immenses trouvailles; un peu moins répétitive, et dont les choix musicaux; certes riches et géniaux (classique, folklorique, indienne, israélienne, métal et rap) et par moments; furent aussi; un poil horripilants (c’est évidemment intentionnel), mais ça pourrait ensuite évoluer, pour que ce soit moins hasardeux; vers de bien plus belles choses encore; qui sont certes néanmoins présentes, mais qui pourraient être davantage développées encore, à mon humble avis; pour mettre encore plus en valeur, le talent hallucinant de tous ses/ces danseurs scotchants; just saying…
En particulier, Bill Barry, Hugo Marmelada, Eri Nakamura, et Chiaka Horita, aux personnalités impressionnantes, m’ont particulièrement marqué; mais toute la compagnie franchement; est fantastique…
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Et ce qui me plu le plus pour cette nouvelle création intitulée “Venezuela”, c’est évidemment tout d’abord, sa drôle d’atmosphère; son aura de mystère, toujours inattendu (mais bon, une “histoire” plus compréhensible, c’est bien aussi; et l’un n’empêche pas forcément l’autre); sa liberté d’expérimentation et la joie et l’énergie débordante par moments, de ses interprètes donc, plus que la chorégraphie elle-même donc; à part un passage de “promenade à éléphant” en groupe, enchanteur; tout comme tous les “solos” des danseurs; car évidemment pour un artiste génial, c’est capital pour se renouveler, d’être prêts à expérimenter, “improviser”; pour trouver de la justesse; avec spontanéité, et imaginaire juvénile et vital.
Et c’est évidemment aussi, le “mélange” de genres musicaux sélectionnés donc, qui me plu aussi hier soir; qui démontre bien, la nécessité parfois, de faire appel souvent; à une grande diversité de choix et inspirations artistiques, pour exprimer de façon riche et élégante, une “idée”, suffisamment intrigante (pour moi; l’idée simple et belle que Naharin évoquait c’est que toute “création” magnifique engendre derrière; toujours alors; des “créations” également fantastiques; alors que le néant appelle le néant), pour que le public s’y intéresse; et aussi; suffisamment mystérieuse à souhait; pour que chacun “se raconte”; pour lui-même, le “récit” riche qui lui parle le plus.
Et évidemment, la bande son en matière de danse, est toujours capitale; et de démarrer sa performance par de la musique classique; et plus particulièrement du chant grégorien, est évidemment une riche idée, qui évolue plus tard, vers du rap, plus actuel; pourquoi pas? pour effectivement donner une nouvelle “épaisseur” au chant grégorien; qui se prête, comme un instrument; à être accompagné ou non…
La seule chose c’est que le rap sélectionné hier soir; était franchement sans aucun intérêt; et ils auraient pu choisir de mettre en valeur plutôt d’autres jeunes artistes contemporains; aux messages plus positifs, pour faire vivre autour de soi; plus de lumière, et d’amour sous toute forme; gaie ou profonde; comme par exemple ces deux jolies chansons riches de belles choses, et d’authenticité; et; inspirantes pour tous, y compris pour danser; just saying…
Chacun ses goûts évidemment…
Alors d’abord une chanson gaie, et du coup évidemment; si géniale à danser!
Top!
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Ou alors, pour ceux qui sont dans un “mood” moins festif et joyeux, mais néanmoins ayant envie de le retrouver (et franchement être “heureux” c’est pas si compliqué, il suffit surtout de s’entourer d’êtres gais et géniaux, et heureusement il y en a plein!); et travailler et rire aussi; mais pour ceux qui parfois traversent des passages plus complexes, ça arrive aussi; mais ça passe heureusement aussi; et c’est toujours suivi de nouveaux bonheurs renouvelés avec tous ceux qui compte; pour qui ne baisse jamais les bras; donc écoutons une chanson magnifique certes plus “mélancolo” mais incroyablement profonde et pleine d’espoir et qui se prêterait sûrement à une jolie chorégraphie aussi; car comme chacun sait; il n’y a pas que des licornes et des arcs en ciel dans la vie; mais si on est prêts à se marrer, à voir la vie du bon côté; à se pardonner nos/ses maladresses et se réjouir de nos/ses sauts périlleux réussis, et qu’on se tourne enfin et surtout, toujours vers l’avenir; à continuellement construire; avec joie et sérénité; tout s’arrange toujours!
Et l’art évidemment, sous toutes ses formes, c’est particulièrement inspirant pour avancer plus vite! Ouf!
Et la danse c’est toujours fantastique et gai à partager; avec ses amis et/ou son amoureux; et sur de nombreuses musiques variées!
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Mais revenons à “Venezuela” et son choix de musique classique particulièrement magnifique, et qui “parle” à tant de monde…
Ecoutons donc, un peu de chant grégorien; en soi; si fantastique de beauté mélodique simple; qui permet de rêver à loisir, ou de se recueillir; et inspire une chorégraphie moderne et expressive de groupe et individuelle; toutes fabuleuses:
J’adore donc ce choix inattendu d’une musique d’antan, totalement iconique, pour évoquer (pour moi aussi); la fraternité humaine et que cette compagnie (la Batsheva); mettait en valeur de façon si majestueuse et si incroyablement originale, et imposante hier soir.
Et du coup, admirons le résultat intense et imaginatif et source de tant de beauté, propice aux rêves optimistes pour notre monde…
Génial!
Admirons donc, ces jeunes danseurs pleins de vie et expressions variées, riches, et bien souvent hyper poétiques, en groupe, en couple, et aussi donc individuellement…
Formidable!
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Et ce qui était particulièrement novateur donc, c’était de danser pour certains interprètes, du “ball room” aussi, sur ces morceaux classiques, et en plus à toute vitesse, comme un avion à réaction; et c’était hyper beau…
Mais le “ballroom” les gars, c’est toujours hyper impressionnant et incroyablement inspirant aussi, y compris en matière sentimentale parfois plus complexe, mais toujours belle et en évolution pour les êtres patients et qui s’apprécient tout particulièrement, sous de multiples formes…
Admirons le trailer du film de Haines, en 1998, “Dance with me”; vous allez voir, ça déménage; et évidemment c’est un peu à l’eau de rose quand même, un peu trop pour moi, personnellement; mais ce qui est raconté sur la musique et la danse; c’est particulièrement juste; et après sur l’amour qui est décrit ici; c’est un peu “téléphoné” évidemment; c’est souvent pas tout à fait pareil, bien qu’hyper réjouissant et riche aussi; heureusement!
Ouf!
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Avouez que c’est vivant!
Et hop; ainsi le tour est joué, et l’avenir du coup, pour eux, comme avec tous ceux qui compte autour d’eux, radieux; car le bonheur, c’est communicatif! ouf!
Des êtres, ces personnages, qui savent donc que, c’est bien plus salutaire et capital dans la vie avec tous, d’être optimiste, joyeux et charmant, et partager simplement et gaiement avec son prochain; et dans ce cas de figure, elle partage aussi avec un amoureux, et évidemment que ça aussi c’est évidemment super génial, parce qu’évidemment encore plus riche!
Evidemment et trop top!
Et ainsi, leur énergie; comme la nôtre, avec tous ceux qu’on apprécie; et chacun différemment évidemment; (quand on fait comme ces danseurs; qui réalisent qu’ils s’apprécient sur mille plans et spontanément); l’énergie de chacun alors, se trouve alors; éternellement renouvelée, quand on tâche comme eux, avec tous ceux qui comptent donc, d’avancer tranquillement, sans attentes particulières que de rigoler; et de faire grandir continuellement toutes les joies possibles; tout en tâchant d’être patient, persistent, face à nos qualités et défauts; et qu’on fait grandir continuellement aussi notre capacité à discerner avec sagesse, l’essentiel de l’accessoire; pour rigoler toujours davantage dans la vie donc; avec tous ceux qui compte; et continuer à s’émerveiller face à l’humanité, y compris face aux défis, et aux talents de chacun, à nourrir avec détermination et surtout passion et spontanéité aussi; savoir voir aussi toujours plus de beauté dans la vie; et enfin; être patient face aux complications; qui du coup, se simplifient toujours; et faire vivre ainsi, toujours du coup, plus de sérénité, partage, d’élans variés et petits et grands bonheurs autour de soi, sans s’oublier; tout ça, les gars; c’est capital…
Trop chouette!
Et je reviens à la musique de “Venezuela”, ces mélanges de genre; pour Naharin, ça n’est pas nouveau pour lui, évidemment…
Admirons un passage d’un documentaire réalisé en 2017, par Tomer Heymann,”Mr Gaga”; qui raconte mieux que tout article, le talent sans pareil de ce chorégraphe génial, en matière de danse et de goûts musicaux (pour la plupart en matière musicale); qui explique son univers vaste et unique, sa “patte” authentique et exigeante, et pleine de compassion aussi, pour ses danseurs professionnels; et le “gaga” (une technique de “danse”) pour tous, professionnels ou non, hyper “déliante”; d’une manière incroyablement inspirante, gaie, imaginative, passionnée, libre, étrange par moments, et toujours poétique…
Découvrons un premier extrait, particulièrement éclectique lui aussi, en matière musicale, et de mouvement; et d’interaction souvent riante, parfois érotique entre danseurs; et parfois même; avec le public partant (moins mon truc avec un être qui n’est pas hyper important, mais pour ceux qui aime, tant mieux)!
Joyeux!
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Avouez que c’est beau, et plein d’humour; et riche d’émotions spectaculaires souvent, et toujours poétiques et enchanteresses!
Et je partage aussi, un autre extrait de ce documentaire; si incroyablement émouvant; sur la vie extraordinairement riche, sur tous les plans, de Naharin; cet artiste si “humain” et complexe aussi; qui raconte si bien des milliards de choses “essentielles”, et entre autre son talent découvert si tard dans la vie, sa poésie et son imaginaire, tous deux extraordinaires, ses choix artistiques courageux et uniques; alors que les plus grandes compagnies New Yorkaises étaient heureuses de le compter parmi eux; sans parler de sa vie personnelle haute en émotions variées, elle aussi; et ce documentaire raconte bien également; entre autres aussi; que la danse est un choix de vie pour certains artistes, qu’ils soient professionnels ou non, et qui, en plus d’être un art magnifique à pratiquer, ou à admirer; est aussi un art “guérisseur” pour l’âme parfois, face aux épreuves de la vie qui n’épargnent personne; et que la danse aussi est toujours source de joies sans frontières, et évidemment nous permet, comme tous les arts, pratiqués avec régularité; d’apprécier encore davantage la vie, ouf! dans toute son expression magnifique, heureuse bien souvent heureusement; et parfois complexe et parfois aussi, et heureusement aussi; souvent simple et gaie, pour qui sait donc s’organiser; et y travailler avec détermination et optimisme!
Top!
Regardons encore un nouvel extrait; et soyez prêts à encore écarquiller les yeux…
Ecoutons un grand critique du L.A. Times également, nous donner son avis sur ce documentaire extraordinaire; vous allez voir; il est autant fan que moi!
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Et des grands danseurs ou chorégraphes uniques et géniaux, et pas tout simples non plus, ou toujours faciles certainement; ça ne se rencontre pas à tous les coins de rue; et évidemment ils viennent de partout; regardons un autre être; incroyablement talentueux, issu de Cuba, le beau Carlos Acosta, lui aussi très unique, et évidemment; une toute autre vie passionnante; elle aussi; et lui aussi, évidemment; l’univers, le lui rend bien!
Bravo!
Regardons donc le trailer de “Yuli” sorti en 2018; de Bollain, que l’on pourra voir sur grand écran, le 16 Avril au DGA Theater à New York…
Je sens que ça va être bien!
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Mais je reviens à “Venezuela” et sa musique classique; et me dit que Naharin aurait pu être inspiré aussi, par d’autres oeuvres classiques peu connues, ou archi connues; et en particulier, par deux morceaux fabuleux joués au Lincoln Center; au David Geffen Hall, Mercredi soir dernier:
D’abord” l’ouverture” de Cyrano de Bergerac; par Wagenaar; hyper vivante et gaie, comme cette oeuvre tragi-comique; comme parfois la vie…
Ecoutons ce morceau hyper réjouissant, écrit en 1905; seulement quelques années après la pièce de Rostand, de 1897; et admirons le talent inouï “d’adaptation” d’un sujet littéraire hyper riche, en un poème musical romantique émouvant et ravissant; une musique haute en couleurs et particulièrement charmante et divertissante…
Ecoutons et rêvons…
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Avouez que c’est riche, romantique, vivant et inspirant aussi il me semble, pour un ballet nuancé, en termes d’émotions variées, et ferait connaitre ce joli morceau au passage; qui évoque bien l’idée de mousquetaires, cadets, amoureux pour moi.
Ah la la …
Trop bien…
Presque aussi joli que les jolis mots déclamés par Cyrano à sa Roxane, que Cyrano, ce généreux imposteur n’ose lui avouer; que bien des années après être tombé amoureux d’elle; c’est beau et peu honnête de la part de ce doux “chevalier”, mais c’est un choix noble évidemment; de sa part aussi; et ça c’est évidemment hyper beau, d’être pudique, et de ne pas dire ouvertement à ceux qu’on aime, comment ou combien on les aime; car en plus, dans ce cas de figure, sinon évidemment, il n’y a pas de “pièce” ou de drame tissé évidemment; et évidemment la vie sans drames et débordante d’amour sous mille formes; c’est mieux, et c’est bien souvent le cas, heureusement; et de toute façon, c’est ça tout ce “non-dit”; dit quand même, par ce grand poète qui rend leur histoire, si émouvante; cette tendre affection romantique et belle, puisqu’ils se comprennent si bien, et s’apprécient tant; et de tant de manières déjà hyper réjouissantes! Donc moi je dis, trop gai!
Alors, pour les amateurs de romances inouïes, écoutez et soyez prêts à être estomaqués devant cet extrait de 1990, du film de Rappeneau, sur Cyrano …
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Qu’on retrouve aussi à l’opéra avec Alfano, un peu plus tôt, en 1936, puisque cette oeuvre en fit rêver plus d’un. Admirons ici, le grand Placido qui chante dans un sublime “Palau”; à Valence; un endroit que Cyrano aurait aimé aussi tellement l’architecture est romantique et magnifique, car tournée vers l’avenir, à construire de façon gaie et possible avec sa cousine, et beaucoup de joies sont envisageables pour eux, puisqu’ils s’entendent si bien; si il fallait écrire une suite gaie et charmante…
Cette fin tragique, c’est trop triste les gars…
Je sais, dans la vie comme beaucoup, je préfère une fin plus gaie, c’est plus réjouissant pour eux, comme ça!
Ah la la…
…
…
Ah la la …
C’est si beau et évidemment terriblement intense et bouleversant quand mis en musique aussi, cette fable tragi-comique; alors que, le plus important; c’est donc, qu’ils s’apprécient tant …
Faut tout leur dire à ces personnages…
Ah la la…
Car toute forme d’affection est donc toujours réjouissante, quand elle est sincère; et même platonique donc, c’est toujours fantastique; heureusement…
Et en plus dans leur cas de figure, ils sont cousins; alors franchement la consanguinité, ça n’est même pas envisageable; mais l’affection immense et sans fin, ça c’est évidemment toujours à fêter; et à faire grandir!
Et évidemment que cette pièce fantastique et si poétique, est toujours adorée du grand public; admirons par exemple le trailer du film récent “Edmond” de Michalik; sorti sur grand écran en 2018, et qui raconte bien aussi; la création originale de cette tragi-comédie, de cette drôle d’histoire; imaginée avec panache, par le grand Rostand…
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Avouez que c’est génial aussi donc; sur la création; et sur l’amour aussi évidemment; à qui il faut toujours faire de la place, toujours donner une chance, et parfois plus d’une; qu’il faut toujours aussi consolider continuellement, à deux; en vivant plein de gaieté et découvertes variées; et c’est pas toujours simple; mais si on est patient, gentil, et aimant de milles manières, l’un pour l’autre, et l’un avec l’autre; c’est toujours réjouissant …
Top!
Mais pour “Venezuela”, et la musique classique; je reviens à mes moutons; Naharin aurait pu aussi se servir du mouvement le plus connu de la septième de Beethoven; qui fut “joué” lui aussi donc, au David Geffen Hall, Mercredi soir dernier; c’est pour ça que j’y pense également; et dont le cinéma lui aussi; “l’honora” récemment; en 2010; avec Hooper et son “King’s speech”; et franchement “la danse” et ses chorégraphes; pourrait aussi s’en inspirer; just saying…
Ecoutons cette immense oeuvre aussi; c’est si beau…
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Et évidemment, ça m’évoque aussi et enfin, en d’autre matières artistiques; l’importance de la spontanéité des expérimentations géniales; parfois sources d’émotions poétiques; et parfois aussi heureusement; de franche rigolade; avec d’autres bandes son magnifiques, qui contribuent tant évidemment, à de l’émotion…
Admirons un tout dernier exemple; pour clore ce long post farfelu; le trailer de “The Party” de Blake Edwards; en 1968; source lui; de très franche gaieté et de joies “second degré”; car figurez-vous aussi que, le script du film était très court; et une grande partie du film fut improvisé; non seulement par l’extraordinaire Peter Sellers, mais aussi par ses acolytes; et y compris par moments, par son “love interest”, la jolie Claudine; à cheval sur un éléphanteau; comme dans “Venezuela”); sans parler de leurs danses improvisées, hyper gaies, entre Peter et Claudine, charmantes (et aussi, à nouveau, comme dans “Venezuela”).
Ah la la…
Regardons et rigolons à gorge déployée; et profitons aussi de la musique si fantastique et joyeuse de Mancini, elle aussi, si “dansante”; dans un tout autre genre évidemment, que la musique classique; mais c’est bien aussi!
Je suis sure que Naharin adore lui aussi…
Profitons-en bien et je vous retrouve dans quinze jours, pour d’autres spectacles, hauts en couleurs; eux aussi…
Trop chouette!
Comme la vie si jolie…
…
…
Soft…
Imaginative…
Loving …
Eternal butterflies 😊