“Lucia di Lammermoor” de Donizetti: la séduisante romance historique demeure toujours aussi “parlante”…

Jeudi 22 Mars 2018 Lincoln Center /Met Opera House/ Thursday March 22nd 2018- “Lucia di Lammermoor” by Donizetti: beguiling historical romance still resonates today …

Cette semaine les gars…

J’étais pas sûre …

De vouloir y aller…

A l’opéra…

Vu que ça se termine très mal…

Mais la musique est si belle 😊

Du début jusqu’à la fin de ce bel opéra …

Tragique et romantique…

Et cette oeuvre chevaleresque aussi 😊

Par moments …

Sublime de beauté…

Si inspirée et géniale …

De Donizetti …

Evidemment 😊

Eu raison de mon incertitude…

Car mon excellente mémoire 😊

Pour les choses …

Les plus gaies 😊

Me rappela …

Combien 😊

L’immense romantisme de cette oeuvre …

Et les quelques moments …

De pur bonheur …

Décrits …

De façon si jolie 😊

Valent la peine…

Et …

M’enchanterais certainement à nouveau …

Tant ça m’avait déjà plu …

Autrefois 😊

(Et mes goûts changent assez peu)…

Et ce fut bien évidemment le cas 😊

Et d’ailleurs…

On était hyper nombreux au MET hier soir 😊

Car hier soir…

Comme autrefois …

Lors de sa découverte au XIXème siècle…

A travers le monde …

“Lucia”…

Fit …

Encore et toujours…

Fureur 😊

Ah la la…

Ca ne m’étonne pas…

Car…

“Lucia”…

….

Eut autrefois…

Un immense retentissement…

Et inspira à l’époque…

Même …

De très nombreux grands auteurs 😊

Qui évoquent dans leurs romans…

Ce sublime opéra…

“Lucia”…

Qui marque leurs personnages…

Profondément 😊

Pour certains d’entre eux …

E.M. Forster “(Where angels fear to tread”) 😊

Tolstoï (“Anna Karenine”) 😊

Et en particulier…

Flaubert (“Madame Bovary”) 😊

Et ça faisait en plus…

Un moment …

Que je ne l’avais pas vu ce bel opéra …

Ca faisait …

Quelques années déjà …

Alors…

J’ai réalisé …

Qu’il fallait foncer 😊

Galoper …

Ventre à terre 😊

Pour continuer à rêver…

Y compris au beau milieu de l’hiver 😊

(Quatre tempêtes de neige …

En moins de trois semaines …

Pour nous les gars)…

Comme dans le film de Lean…

“Doctor Zhivago’ (1965) 😊

Qui retrouve celle qu’il aime …

Au bout de quelques années …

Ah la la…

Car il neige…

Toujours autant 😊

Et au moins rêver…

En écoutant de la belle musique …

Poétique 😊

Et par instants …

Heureuse et merveilleuse…

C’est toujours ça de pris! 😊

Et dans une lumière écossaise sublime 😊

Par dessus le marché 😊

C’est encore plus joli! 😊

Et après …

Les moments heureux 😊

Ca donne des réserves…

Pour les passages plus tristes…

Puisque nous sommes à l’opéra! 😊

Faut rire les gars! 😊

Et puis…

J’imagine toujours …

Plus tard 😊

Pour terminer…

Une post-face plus riante …

C’est plus gai …

Et ça me permet alors toujours de rêver fort…

Et de façon plus épanouissante …

Pour la suite des événements 😊

Et puis…

Le libretto romantique …

De Cammarano…

Est tiré d’un roman épique lui aussi…

De…

L’immense Sir Walter Scott 😊

“The bride of Lammermoor”…

Et …

Pour tous ceux qui ont rêvé en lisant…

Du même auteur…

Enfant…

“Ivanhoe” 😊

Ou …

En regardant aussi …

Après lecture du roman… …

Le film de Thorpe du même nom (1952)…

C’est génial!😊

Et qui n’aime pas l’idée de fantômes …

Alors ici …

Pour “Lucia”…

Il s’agit de fantômes d’amoureux …

Généralement heureux …

Et comme dans le film “Beautiful creatures” de LaGravenese (2013)…

Que j’adore comme vous le savez …

J’assume 😊

(Mon goût pour les romances à l’eau de rose) 😊

Qui se disputent parfois…

Mais toujours hyper gentiment 😊

Ah la la…

Et se retrouvent aussi à la fin 😊

Alors qu’on n’y croit plus …

Car la mémoire du héros …

A été effacé de son cerveau…

(Ils ont de l’imagination …

Les scénaristes de ce film) 😊

Par l’héroïne …

Par amour pour le héros…

Mais c’est sans compter sur la mémoire de son coeur 😊

A lui…

Si joli 😊

Ah la la…

Tellement romantique …

Ah la la…

Et parfois la mémoire…

Le héros …

Se l’auto-efface …

Pour se protéger comme dans …

“Total Recall” de Verhoeven (1990)…

(Encore un film imaginatif) 😊

Ou comme “Lucia”…

Le héros se demande …

Si il n’a pas perdu la raison …

Par moments 😊

Pas comme…

Dans “Rebecca” de Hitchcock (1940)…

(Je reviens aux fantômes) 😊

Où…

La nouvelle Madame de Winter …

Prend enfin la place qui lui revient…

Pas comme dans ce très beau poème …

Plus tristoune de Louise Ackermann…

Ah la la…

Faut voir…

Le beau et le possible bichette 😊

Plutôt que de se perdre dans la tristesse …

Ca n’est pas donné à tout le monde 😊

Cette capacité à rigoler 😊

En toutes circonstances …

Et à l’époque pauvre Lucia …

Les femmes étaient plus à la merci de la société …

Qu’aujourd’hui 😊

Je le sais bien 😊

Tant mieux pour tous …

C’est plus sain et plus gai …

Aujourd’hui…

Et pas toujours facile non plus 😊

Mais comme ça on ne s’embête pas! 😊

Lisons quand même ce joli poème…

(À M. Louis de Ronchaud).

I

Regardez-les passer, ces couples éphémères !
Dans les bras l’un de l’autre enlacés un moment,
Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières,
Font le même serment :

Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent
Avec étonnement entendent prononcer,
Et qu’osent répéter des lèvres qui pâlissent
Et qui vont se glacer.

Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse
Qu’un élan d’espérance arrache à votre cœur,
Vain défi qu’au néant vous jetez, dans l’ivresse
D’un instant de bonheur ?

Amants, autour de vous une voix inflexible
Crie à tout ce qui naît : « Aime et meurs ici-bas ! »
La mort est implacable et le ciel insensible ;
Vous n’échapperez pas.

Eh bien ! puisqu’il le faut, sans trouble et sans murmure,
Forts de ce même amour dont vous vous enivrez
Et perdus dans le sein de l’immense Nature,
Aimez donc, et mourez !

II

Non, non, tout n’est pas dit, vers la beauté fragile
Quand un charme invincible emporte le désir,
Sous le feu d’un baiser quand notre pauvre argile
A frémi de plaisir.

Notre serment sacré part d’une âme immortelle ;
C’est elle qui s’émeut quand frissonne le corps ;
Nous entendons sa voix et le bruit de son aile
Jusque dans nos transports.

Nous le répétons donc, ce mot qui fait d’envie
Pâlir au firmament les astres radieux,
Ce mot qui joint les cœurs et devient, dès la vie,
Leur lien pour les cieux.

Dans le ravissement d’une éternelle étreinte
Ils passent entraînés, ces couples amoureux,
Et ne s’arrêtent pas pour jeter avec crainte
Un regard autour d’eux.

Ils demeurent sereins quand tout s’écroule et tombe ;
Leur espoir est leur joie et leur appui divin ;
Ils ne trébuchent point lorsque contre une tombe
Leur pied heurte en chemin.

Toi-même, quand tes bois abritent leur délire,
Quand tu couvres de fleurs et d’ombre leurs sentiers,
Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire
S’ils mouraient tout entiers ?

Sous le voile léger de la beauté mortelle
Trouver l’âme qu’on cherche et qui pour nous éclôt,
Le temps de l’entrevoir, de s’écrier : « C’est Elle ! »
Et la perdre aussitôt,

Et la perdre à jamais ! Cette seule pensée
Change en spectre à nos yeux l’image de l’amour.
Quoi ! ces vœux infinis, cette ardeur insensée
Pour un être d’un jour !

Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles,
Grand Dieu qui dois d’en haut tout entendre et tout voir,
Que tant d’adieux navrants et tant de funérailles
Ne puissent t’émouvoir,

Qu’à cette tombe obscure où tu nous fais descendre
Tu dises : « Garde-les, leurs cris sont superflus.
Amèrement en vain l’on pleure sur leur cendre ;
Tu ne les rendras plus ! »

Mais non ! Dieu qu’on dit bon, tu permets qu’on espère ;
Unir pour séparer, ce n’est point ton dessein.
Tout ce qui s’est aimé, fût-ce un jour, sur la terre,
Va s’aimer dans ton sein.

III

Eternité de l’homme, illusion ! chimère !
Mensonge de l’amour et de l’orgueil humain !
Il n’a point eu d’hier, ce fantôme éphémère,
Il lui faut un demain !

Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle
Qui brûle une minute en vos cœurs étonnés,
Vous oubliez soudain la fange maternelle
Et vos destins bornés.

Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires
Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ?
Quittez un tel espoir ; tous les limons sont frères
En face du néant.

Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles :
« J’aime, et j’espère voir expirer tes flambeaux. »
La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles
Luiront sur vos tombeaux.

Vous croyez que l’amour dont l’âpre feu vous presse
A réservé pour vous sa flamme et ses rayons ;
La fleur que vous brisez soupire avec ivresse :
« Nous aussi nous aimons ! »

Heureux, vous aspirez la grande âme invisible
Qui remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ;
La Nature sourit, mais elle est insensible :
Que lui font vos bonheurs ?

Elle n’a qu’un désir, la marâtre immortelle,
C’est d’enfanter toujours, sans fin, sans trêve, encor.
Mère avide, elle a pris l’éternité pour elle,
Et vous laisse la mort.

Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ;
Le reste est confondu dans un suprême oubli.
Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître :
Son vœu s’est accompli.

Quand un souffle d’amour traverse vos poitrines,
Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus,
Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines
Vous jettent éperdus ;

Quand, pressant sur ce cœur qui va bientôt s’éteindre
Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas,
Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre
L’Infini dans vos bras ;

Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure
Déchaînés dans vos flancs comme d’ardents essaims,
Ces transports, c’est déjà l’Humanité future
Qui s’agite en vos seins.

Elle se dissoudra, cette argile légère
Qu’ont émue un instant la joie et la douleur ;
Les vents vont disperser cette noble poussière
Qui fut jadis un cœur.

Mais d’autres cœurs naîtront qui renoueront la trame
De vos espoirs brisés, de vos amours éteints,
Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme,
Dans les âges lointains.

Tous les êtres, formant une chaîne éternelle,
Se passent, en courant, le flambeau de l’amour.
Chacun rapidement prend la torche immortelle
Et la rend à son tour.

Aveuglés par l’éclat de sa lumière errante,
Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea,
De la tenir toujours : à votre main mourante
Elle échappe déjà.

Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ;
Il aura sillonné votre vie un moment ;
En tombant vous pourrez emporter dans l’abîme
Votre éblouissement.

Et quand il régnerait au fond du ciel paisible
Un être sans pitié qui contemplât souffrir,
Si son œil éternel considère, impassible,
Le naître et le mourir,

Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même,
Qu’un mouvement d’amour soit encor votre adieu !
Oui, faites voir combien l’homme est grand lorsqu’il aime,
Et pardonnez à Dieu !

….

C’est un peu long mais beau quand même! 😊

Un peu comme Lucia! 😊

Cette histoire-ci…

Cet opéra…

Si émouvant malgré sa tristesse aussi …

Ah la la…

Car “Lucia”…

Est donc à voir  …

Au moins …

Une fois  😊

Dans sa vie…

Malgré sa grande noirceur aussi  …

Car …

En deux mots …

Deux amoureux…

Qui “se marient” dans leurs coeurs…

N’arrivent pas à le faire dans la vraie vie…

Et sombrent alors …

Au troisième acte…

Tous deux donc…

Dans la très grande noirceur…

Pauvres loups…

Alors qu’il ne faut jamais …

Se laisser embarquer …

Dans des états pareils…

Ils devraient le savoir pourtant 😊

Ah la la…

Voilà en deux mots …

L’histoire en résumé …

Lisons d’abord …

Un bout de la poésie du libretto…

Entre Lucia et son Edgardo…

Qui sont si épris …

Trop gentil 😊

Ils ont raison …

De s’aimer fort 😊

C’est…

Si gai et ça rend si heureux! 😊

Ah la la …

Les jeunes romances…

Qui durent …

Parfois 😊

Et …

Parfois…

Pas…

Comme chacun sait 😊

Mais …

Si mimi 😊

Aussi …

Pendant que c’est bien 😊

Moi je dis …

Trop chouette! 😊

Et après …

Ca ne tient qu’à nous de continuer …

A enrichir nos vies 😊

De jolies choses et experiences jolies …

Qui évoluent un peu 😊

Comme nous aussi …

Pour s’améliorer …

Et être toujours plus heureux! 😊

Et tant mieux! 😊

C’est vrai les gars …

Trop trop chouette donc! 😊

LUCIA
Banish all other feelings
save love from your heart;
a nobler, holier vow
than any other is pure love,
ah, only love,
etc.
Yield, yield to me, yield to love.EDGARDO
But that vow is not broken,
etc.I could well fulfil it yet!(with sudden resolution)Here, pledge yourself eternally
before Heaven to be my bride.
God hears us, God sees us;
church and altar is a loving heart;(solemnly placing a ring on Lucia’s finger)to your destiny I link mine…
I am your betrothed.LUCIA
(in her turn giving a ring to Edgardo)And I yours.EDGARDO and LUCIA
Ah, only icy death
can quench our passion.LUCIA
I call on Love, I call on Heaven
to witness my vows,
etc.EDGARDO
I call on Heaven to witness my vows,
etc.We must part now.LUCIA
Oh, how I dread those words!
My heart goes with you.EDGARDO
My heart stays here with you,
etc.

LUCIA
Oh, Edgardo, Edgardo!

EDGARDO
We must part now.

LUCIA
Ah, if sometimes you think of me
and send me a letter,
fresh hopes will fortify
my fleeting life.EDGARDO
I shall always cherish
vivid memories of you, dearest.LUCIA
Ah!…
On the breeze
will come to you my ardent sighs,
you will hear in the murmuring sea
the echo of my laments.
When you think of me
living on tears and grief,
then shed a bitter tear
on this ring,
ah, on this ring,
etc.EDGARDO
On the breeze will come to you,
etc.LUCIA and EDGARDO
Ah! On the breeze will come to you,
etc.EDGARDO
Remember, Heaven has joined us!

Qui eux aussi donc…

Aiment les brises …

Décidément 😊

Comme ce sublime poème …

Pour évoquer le vent de l’hiver 😊

Sévère …

De ces contrées balayées …

Sans discontinuer   …

Des semaines entières  😊

Et que les cache-nez sont encore…

Utiles 😊

Avant l’adoucissement lumineux …

Apporté par le printemps joyeux 😊

Emeraude et trépidant…

On y arrive…

Patience 😊

En attendant lisons aussi ce beau poème un peu …

Glacé et glaçant …

D’Emile Verhaeren…

Cet immense poète qui aime le vent 😊

(Comme bon nombre d’entre nous)…

Permettant d’exprimer aussi …

Sa belle mélodie à lui 😊

On sent le froid mordant 😊

Comme si on y était …

Vive l’hiver! 😊

Et ses collants et ses gants 😊

Le vent

Sur la bruyère longue infiniment,
Voici le vent cornant Novembre ;
Sur la bruyère, infiniment,
Voici le vent
Qui se déchire et se démembre,
En souffles lourds, battant les bourgs ;
Voici le vent,
Le vent sauvage de Novembre.

Aux puits des fermes,
Les seaux de fer et les poulies
Grincent ;
Aux citernes des fermes.
Les seaux et les poulies
Grincent et crient
Toute la mort, dans leurs mélancolies.

Le vent rafle, le long de l’eau,
Les feuilles mortes des bouleaux,
Le vent sauvage de Novembre ;
Le vent mord, dans les branches,
Des nids d’oiseaux ;
Le vent râpe du fer
Et peigne, au loin, les avalanches,
Rageusement du vieil hiver,
Rageusement, le vent,
Le vent sauvage de Novembre.

Dans les étables lamentables,
Les lucarnes rapiécées
Ballottent leurs loques falotes
De vitres et de papier.
– Le vent sauvage de Novembre ! –
Sur sa butte de gazon bistre,
De bas en haut, à travers airs,
De haut en bas, à coups d’éclairs,
Le moulin noir fauche, sinistre,
Le moulin noir fauche le vent,
Le vent,
Le vent sauvage de Novembre.

Les vieux chaumes, à cropetons,
Autour de leurs clochers d’église.
Sont ébranlés sur leurs bâtons ;
Les vieux chaumes et leurs auvents
Claquent au vent,
Au vent sauvage de Novembre.
Les croix du cimetière étroit,
Les bras des morts que sont ces croix,
Tombent, comme un grand vol,
Rabattu noir, contre le sol.

Le vent sauvage de Novembre,
Le vent,
L’avez-vous rencontré le vent,
Au carrefour des trois cents routes,
Criant de froid, soufflant d’ahan,
L’avez-vous rencontré le vent,
Celui des peurs et des déroutes ;
L’avez-vous vu, cette nuit-là,
Quand il jeta la lune à bas,
Et que, n’en pouvant plus,
Tous les villages vermoulus
Criaient, comme des bêtes,
Sous la tempête ?

Sur la bruyère, infiniment,
Voici le vent hurlant,
Voici le vent cornant Novembre.

Comme cette sublime chanson que j’adore …

Comme vous le savez 😊

Sur le vent qui nous porte…

Surtout nos plus belles pensées 😊

C’est celles-là …

Les plus réjouissantes…

Et à partager  …

Mais j’aime bien …

Cette “cover” aussi …

Ecoutons…

Et la production …

Victorienne…

Féminine …

Et dure aussi…

De Mary Zimmermann…

Apportait beaucoup de douceur…

Profondeur et de poésie …

A cette drôle d’histoire …

D’Amour …

Et aussi …

De folie …

Si triste…

Quand cette maladie frappe …

Parfois même des êtres inouïs …

Qui méritent toujours d’être aidés …

Mais qui ne se laissent pas toujours…

Aider…

Ah la la…

Et les chanteurs …

Dans tout ça? 😊

Sublime…

Olga Peretyatko-Mariotti…

La jeune et ravissante…

Soprano russe …

Comme Lucia 😊

Si émouvante quand amoureuse 😊

Et aussi …

Quand ayant perdu l’esprit…

Pauvre loute …

Et Vittorio Grigolo …

Le charmant ténor italien…

Fut éblouissant de charme …

Comme toujours 😊

Comme Edgardo 😊

Et les arias dans tout ça? 😊

Aujourd’hui…

Je ne partage qu’un seul aria …

Au dernier acte…

Un “must” 😊

Car c’est un aria époustouflant de majesté…

Sans parler de l’extrême technique demandée  …

Pour le chanter avec brio cet aria 😊

Egalement enrichi …

De la musique d’Eric Serra 😊

Dans les extraits que je partage…

Mais vous allez voir …

Le résultat est assez surprenant aussi…

Et ici …

Interprété cet air par la grande Inva 😊

Qui chante le rôle de cette extra-terrestre …

Au drôle de look …

Et au drôle de nom…

“Blue lagoon”😊

Pour honorer peut-être la jolie Milla? 😊

Dans un remake débile …

Mais aux jolies images …

“Return to The Blue Lagoon” de Graham (1991) 😊

Du film de Kleiser …

“Blue Lagoon”(1980) 😊

Pas un immense film non plus…

Mais l’ile est belle 😊

Et les amoureux …

Sont inspirants 😊

Un être étrange…

Cette “diva” bleutée donc 😊

Bienveillant…

Télépathe …

Et protecteur …

Ce personnage étrange dans ce film …

Qui nous poursuit …

Lui aussi…

Décidément 😊

Donc toujours…

De Besson…

L’imaginatif….

Avec “The Fifth element” (1997)…

Accrochez-vous 😊

Ah la la  😊

Et j’aime aussi cette version…

Encore joliment chantée…

Par la jolie Jihye…

Et aussi celle-ci …

Interprétée par encore une autre diva…

Par la belle Evgenia…

Habillée comme Leeloo (the Fifth element) sous sa cape blanche…

Elle a raison …

Il faut rigoler …

En plus d’émouvoir son public…

Ah la la…

Et “Lucia”…

M’évoque aussi évidemment 😊

L’Ecosse …

Et encore une autre histoire d’amour romantique …

Le film de Mulcahy “Highlander” (1986)…

Et le bonheur vécu entre les deux jolis amoureux…

Un temps …

Si beau…

Si c’est pas éternel …

C’est encore plus émouvant …

Les gars…

Comme cette belle chanson …

De Queen 😊

Que j’aime depuis la nuit des temps…

Ah la la…

Et aussi cette magnifique chanson …

D’un James Bond…

Qui se passe également en Ecosse…

Et qui rappelle qu’il faut avancer…

Serein et heureux …

Quelque soit …

Les embuches…

Les brumes qui entourent nos cȋmes …

Compter sur notre grande…

Résilience…

En toutes circonstances 😊

Pour toujours faire croȋtre nos bonheurs  …

Ouf! 😊

Et comme ces derniers exemples …

Manquent un peu de de gaieté …

Voici…

Un autre exemple hyper heureux 😊

Pour nous faire rigoler…

D’une série télé 😊

Des années soixante (1967-1970)…

Avec la pimpante “Soeur Bertrille” 😊

Qui fait bêtises sur bêtises …

Mais si charmante …

Et si gaie et bonne…

Qu’elle s’en sort toujours 😊

Bravo! 😊

Et ces romances historiques m’évoquent évidemment …

D’autres exemples…

Chez nous 😊

De la même époque…

Que ceux de Walter Scott 😊

Balzac et sa comédie humaine 😊

Et aussi …

Evidemment …

Victor Hugo 😊

Et un de ses romans …

Qui se passe à Paris …

Si si 😊

Admirons le trailer du film de Delannoy (1957)…

Du même titre …

Mais traduit en anglais 😊

Et …

De Dumas …

“Les Trois Mousquetaires” 😊

Regardons maintenant…

Un des nombreux exemples au cinéma…

J’aime bien le film récent de Paul W. S. Anderson…

Du même nom (2011)…

Traduit en anglais 😊

Drôle …

Par moments aussi 😊

Cette histoire de cape et d’épée …

Si riche en rebondissements elle aussi! 😊

Ah la la…

Mais passons…

A la musique pop…

Ca faisait longtemps 😊

Et il n’y a rien de tel que de…

Chanter et danser pour …

Faire croȋtre encore et toujours  …

Sourire et bonne humeur 😊

Et j’adore son speech si réjouissant…

Et celle-ci aussi…

Sans parler de cette chanson-ci…

Plus contemporaine 😊

Qui montre que Marvin est toujours d’actualité…

Et ce chanteur sait lui-même reconnaitre le talent 😊

Et je vous laisse …

A nouveau …

Pour quinze jours …

(Les vacances de Pâques) 😊

Regardons cette émission hyper réjouissante…

Qui rappelle à tous que de faire de la musique 😊

Chanter 😊

Faire de l’art sous toutes formes 😊

Réinterpréter les choses…

De façon personnelle 😊

Et toutes les occasions …

S’y prêtent si on le décide …

Pour faire grandir de la beauté et la lumière…

Dans nos vies…

A partager …

En priorité…

Bien évidemment…

Avec tous ceux qu’on aime 😊

Et tous ceux que ça intéresse aussi …

Ceux qui sont…

Bienveillants …

Ouverts et gentils 😊

Quand l’envie …

Ou l’inspiration …

Bienvenues  …

Font parfois…

Surface! 😊

Si si…

Trop bien! 😊

Moi je dis …

Top! 😊

Soft…

Fluttering …

Charming…

Beguiling…

Beautiful…

Awesome…

Gorgeous…

Imaginative…

Optimistic…

Romantic…

Poetic…

Lyrical…

Sentimental…

Historical…

Mythical…

Literary …

Mystical…

Sunny…

Warm…

Light…

Serene…

Smiling…

Happy…

Loving…

Eternal butterflies…